Bigre, comment être sûr de la pertinence de sa participation à un blog sur le boomerang montréalais quand on n'est allé qu'une seule fois de sa vie à Montréal - et encore on était surtout à Verdun - et qu'on peut compter sur les doigts de la main de Django Rheinhardt les catchs qu'on a réussis dans sa vie ?
Alors, soyons francs.
- Est-ce que je pratique régulièrement ? Pas du tout, ça fait mal au bras, comme vous vous en êtes sûrement rendus compte.
- Est-ce que je possède un boom ? J'en ai un, mais il n'est pas à moi : c'est un otage que je menace d'éxécuter depuis deux ans si Manu ne revient pas le chercher en France. Accessoirement, il est pendu à un clou sur le mur en face de moi en ce moment précis où je rédige ces lignes (il faut bien le reconnaître : une fois immobilisé, l'objet est doté de qualités esthétiques indéniables).
- La dernière fois ? La dernière fois que j'ai joué au lancé un boom, ça devait être en 2006, dans le parc du Château de Dormans. Mal dressé, l'est pas revenu l'animal (Bon, en fait c'est faux : je l'ai rattrapé au moins deux fois, ce jour là, gagnant le temps d'une journée le titre éphémère mais envié de "Champion picard du tripale").
- Est-ce qu'au moins je me sens concerné, même de loin, par ces petits objets en matériaux légers voletant parfois d'une manière aléatoire ? Hé bien, comment vous dire, oui, comment, hein, toute la poésie que m'inspirent les spires élégantes de ces oiseaux de bois décrivant leurs arabesques graciles le long d'improbables asymptotes de vent ? Hein ?
Mais après tout nous sommes ici sur "Un blog dédié au boomerang sous tous ses aspects. Sportif, artistique, scientifique, compétitif, historique. Name it".
Je reviendrai un jour sur cet aspect "name it", riche en possibilités, extensions et add-on de toutes sortes.
En attendant, je tiens à préciser que je suis un être vénal et que mon frère me rémunère pour dire tout le bien qu'il y a à penser de son style grâcieux et efficace, puissant et précis.
Accessoirement, je lui fais aussi des suggestions pour l'amélioration de son blog, comme par exemple de tester une injection du petit code last.fm qui nous permettrait d'écouter sur cette page sa radio personnelle.
Et enfin, je souhaite une longue vie à "Montréal Boomerang" ! Et à tous ses contributeurs !
Je reviendrai - si Manu ne me raye pas de la liste (ce qui ne saurait tarder, à humble mon avis).
mardi 21 avril 2009
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Va donc voir sur Gaïa s'y j'y suis pas...
RépondreSupprimerSans dec, pour lastfm j'ai vu qu'il y avait des trucs, je vais l'essayer bientôt.